Après une quinzaine de jours de flemmardise, je me rends compte que demain, je vais devoir retrouver cours accélérés en version light, professeurs en manque de motivation et étudiants désabusés. Apres le choix de ma tenue et un brushing pour l’occasion, je parcours les quelques pages, censées contenir l’ensemble de mes cours de premier semestre dans mon classeur ultra-ordonné. Déception.
La première fois que j’ai pris connaissance du programme qui m‘attendrait en licence en sciences de l’information et de la communication option audiovisuelle, que Dieu m’en soit témoin – et peu m’importe que ça fasse praline-, j’en ai eu les larmes aux yeux !
Troisième année : Production radiophonique en travaux pratique, sémiologie de la photographie et de la caricature ou technologies modernes de la communication en Algérie, sur papier glacé, les festivités ont de quoi allécher la passionnée que je suis.
Mais une fois l’année péniblement entamée- horizon novembre 2008-, la désillusion est inévitable, de surcroit lorsqu’on sublime le métier, qu’on est exigeant envers soi et qu’on attend de notre formation de recevoir une base solide.
Bien sûr, mieux vaut ne pas trop en demander à notre système éducatif, me dira-t-on. Quand on aspire à acquérir la formation dont on rêve par le biais de l’université algérienne, mieux vaut avoir une volonté tenace, une patience de moine, l’esprit autodidacte et une bonne paire de basquets.
Ça tombe bien, je suis têtue, curieuse, déterminée et j’ai de bonnes vieilles Adidas aux pieds. Hélas certains obstacles peuvent reculer les esprits les plus téméraires.
La première fois que j’ai pris connaissance du programme qui m‘attendrait en licence en sciences de l’information et de la communication option audiovisuelle, que Dieu m’en soit témoin – et peu m’importe que ça fasse praline-, j’en ai eu les larmes aux yeux !
Troisième année : Production radiophonique en travaux pratique, sémiologie de la photographie et de la caricature ou technologies modernes de la communication en Algérie, sur papier glacé, les festivités ont de quoi allécher la passionnée que je suis.
Mais une fois l’année péniblement entamée- horizon novembre 2008-, la désillusion est inévitable, de surcroit lorsqu’on sublime le métier, qu’on est exigeant envers soi et qu’on attend de notre formation de recevoir une base solide.
Bien sûr, mieux vaut ne pas trop en demander à notre système éducatif, me dira-t-on. Quand on aspire à acquérir la formation dont on rêve par le biais de l’université algérienne, mieux vaut avoir une volonté tenace, une patience de moine, l’esprit autodidacte et une bonne paire de basquets.
Ça tombe bien, je suis têtue, curieuse, déterminée et j’ai de bonnes vieilles Adidas aux pieds. Hélas certains obstacles peuvent reculer les esprits les plus téméraires.
A suivre...
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